HtmlToText
derniers articles est-ce possible d’aimer deux hommes? un prof ma vie bienvenue articles par catégorie non classé (4) articles par mois avril 2008 inscription aller à: [ recherche ] [ menus ] [ contenu ] [ montrer/cacher plus de contenu ] bienvenue sur mon blog est-ce possible d’aimer deux hommes? posté par journal1fille on 28.avr.2008 pas de commentaires est-ce possible d’aimer deux hommes en même temps? j’aimerais pouvoir répondre « non », ça serait tellement plus simple. malheureusement, si, c’est possible mais on n’aime pas de la même façon… j’ai mal de penser à cet autre homme. cet homme que je porte dans mon coeru depuis tant d’années. j’ai vaguement réussi à l’oublier, ou plutôt, à le « mettre » dans un coin de mon esprit et de mon coeur pour moins y penser. mais ça fait quelques temps que je n’arrête pas de repenser à lui, c’est si dur! pourtant, auprès de moi, il y a un homme qui m’aime et que j’aime également mais je n’y arrive pas… comment faire pour l’oublier? c’est si dur de penser à lui. publié dans non classé . un prof posté par journal1fille on 15.avr.2008 pas de commentaires juste avant, je vous ai parlé d’un prof sur lequel j’avais craqué. voici l’histoire, semaine après semaine: mon histoire commence au début de mon année scolaire, à la rentrée des classes, le 10 septembre. ce fut aussi le début de mes problèmes. c’était la première fois que je te voyais et, comme pour chacun des profs, j’ai donné mes impressions. ces dernières furent désagréables et négatives: raciste, exigeant, futur surnom « popeye », à cause des grimaces que tu fais. les lundis s’enchainèrent et tu me paraissais de plus en plus « chiant ». dans la classe, et plus particulièrement dans mon groupe de tp, j’ai remarqué que tu avais l’air d’apprécier d’enfoncer tous tes élèves, sauf quelques uns. même nath qui ne dit jamais rien y est passé! ainsi que toutes les filles de la classe mais aussi les garçons… surtout les marocains. j’ai eu la chance jusqu’à présent de ne pas en faire partie. une fois, on faisait la plantule de radis - quel sujet intéressant! ^^ - et on avait des questions qu’on a fait en cours, tu m’as interrogé comme tu aurais pu interroger n’importe qui, et j’ai répondu correctement - pour une fois - , mais ce qui m’a surpris, c’est que tu te sois souvenu de mon prénom dès le début de l’année. tu es l’un des seuls profs à l’avoir retenu. ce lundi, on a observé ces plantules de radis et je ne sais pas pourquoi, je voulais savoir la couleur de tes yeux, alors je t’ai regardé fixement, pendant que tu regardais d’autres élèves, mais tu as tourné la tête, nos regards se sont croisés, on s’est regardé fixement pendant deux, voir trois secondes, mais ça m’a suffit pour me faire changer d’avis sur ce que je pensais de toi. il y a un mois maintenant, on m’a dit pendant le cours précédent le tien, que l’une de mes prof était absente parce qu’elle était décédée. ca m’a fait un peu bizarre mais rien d’extraordinaire. quand on est arrivé dans ton cours, à 1/2h de la fin, juste histoire de copier le cours, le proviseur, accompagné de ses collègues, sont venus nous annoncer le décès de notre prof. comme presque tout le monde, tu n’étais pas au courant. quand le proviseur nous a annoncé la cause de son décès, tu as été choqué et j’ai cru que tu allais arrêter le cours car tu avais le regard dans le vide, l’esprit ailleurs, tu ne savais plus ce que tu disais, le cours n’avançait plus. a ce moment, j’ai été choquée à mon tour, de te voir dans cet état. j’aurais voulu faire quelque chose pour toi, mais quoi? en sortant du cours, j’ai voulu te demander si ça allait, mais je n’ai pas osé car je connaissais d’avance la réponse. depuis ce jour, je pense à toi, à ton regard dans le vide, à ta tête immobile, à tes mains qui tremblaient… le lundi suivant, on a repris les cours et on a retrouvé le prof qui était toujours là pour envoyer balader les élèves, le prof qui pousse des gueulantes… maintenant et depuis la plantule de radis, je ne te regarde plus; je te regarde de temps en temps mais autour de toi, jamais dans les yeux. a présent, quand tu me regardes, j’ai la tête baissée, en train de gribouiller un peu plus mon classeur. j’aurais aimé t’oublier mais maintenant, chaque fois que je te vois, je repense à ce jour… le lundi ù on a décortiqué ce pauvre poisson, j’étais très mal, j’ai cru que j’allais vomir. nath a fait le travail à ma place et quand tu es venu voir notre poisson, tu as trouvé qu’il était bien décortiqué, alors tu nous as mis 10/10. je ne l’ai pas mérité mais elle n’a pas voulu que je te le dise. tu as pris notre poisson comme exemple, c’était un mal avec « de gros testicules » - on est heureux de le savoir -. une fille du groupe m’a dit: « alors, tu ne viens pas voir ton poisson? », tu t’es retourné et m’a regardé longuement en souriant et tu t’es repenché sur ton poisson. la semaine suivante, on a observé 5 squelettes. tu les as posés à différents endroits de la salle: un au fond, un entre les bancs, un derrière un élève, un à côté de moi, un sur le bureau et le dernier dans tes mains. a la fin de l’heure, tu as rangé les squelettes et m’a demandé de t’aider. je l’ai fait avec plaisir. c’est ridicule! le lendemain, on a fait l’interro, dans la salle où il fait super chaud! je suis arrivée et j’ai crevé de chaud, j’ai cru que j’allais exploser et quand tu passais à côté, c’était encore pire! pour une fois, j’avais appris ma leçon, pour avoir une note correcte; résultat, je me suis plantée. c’est décidé, je n’apprends plus mes leçons!!! a la fin de la semaine, c’était les vacances de noël et j’allais de plus en plus mal… vivement la rentrée, que je me fasse moins chier et que je puisse te revoir. la rentrée a enfin lieu. je te souhaite moi aussi une bonne année et tout ce qui va avec. tu ne me regardes plus, tu ne m’approches plus, tu ne m’interroges plus, ça me déçoit mais je pourrais peut-être oublier « ce » jour comme ça. une semaine est passée, maintenant c’est nath par-ci, nath par-là…il n’y a plus qu’elle qui compte…. ça m’énerve!!! cette semaine, je n’ai pas beaucoup pensé à toi, sauf ce week-end puisque je savais que je te voyais lundi, où tu as corrigé les exercices que nath faisait à moitié et pas les miens, et que je te voyais mardi aussi, où tu passais à côté d’elle, tu la regardais, tu regardais ses exercices…l’essentiel est que je commence à t’oublier… lundi tu es venu, tu t’es posé à côté de moi et tu as corrigé ma copie qui n’avait pas de faute. nath n’était pas là, je t’avais pour moi. tu es passé trois fois, je n’ai pas osé lever la tête pour te regarder. une fois, quand tu étais à ton bureau, j’ai levé la tête et je suis tombée dans tes yeux, j’ai tout de suite changé mon regard de direction. j’ai été contente de mon lundi et j’aimerais qu’ils soient tous comme ça. mardi, en passant dans le couloir, j’ai regardais dans quelle salle tu étais et je t’ai trouvé, à discuter avec notre prof et je t’ai regardé longuement. encore une belle journée qui vient de passer; maintenant que je t’ai vu, j’ai retrouvé le sourire. ce matin, j’avais ton odeur autour de moi qui m’arrivait et je partais dans mes rêves. vendredi, tu marchais derrière moi et je ne sais pas pourquoi, je l’ai senti, j’ai reconnu ta démarche. tu aurais pu me doubler mais tu ne l’as fait qu’au dernier moment. tu m’as rendu heureuse pour la journée. lundi, tu es resté comme d’habitude, c’est-à-dire tu es mon prof et je suis ton élève. tu m’as bien regardé de temps en temps mais c’était parce que j’étais sur le chemin de ton regard. nath m’a dit un truc qui m’a surprise: elle t’a montré son billet d’absence et tu lui as dit « casse-toi », tu l’as envoyé chiez; pour être franche, ça m’a fait plaisir, je sais, c’est de la jalousie. mardi, on a fait l’interro et je te remercie de ne pas être passé près de moi pour regarder ma copie, mais j’aurais aimé que tu me regarde un peu plus. vendredi, en sortant du cours de français, je t’ai vu sortir d’une salle pour monter au deuxième étage e